Sortie de l'hôtel, la route est raide, un véritable travail de romains qu'ont effectué les villageois pour la construire.
Notre guide, Martial. Pas croyant pour un sous, mais portant fièrement la coiffe musulmane par respect pour son père. Franchement un gars extra. Les enfants l'ont adoré.
Rizière en bordure de la route. Le riz est récolté à la main puis séché, battu et récolté...bienvenue dans un autre siècle.
Au premier plan des ylang-ylang. L'île de Nosy bé en est recouverte, le parfum est persistant sur toute l'île, un bonheur.
Fleur d’ylang-ylang, quand elle est jaune, elle peut être cueillie.
Une petite carrière servant à construire routes et bases des maisons. Tout est taillé à la main...
Voilà, le résultat, quand je vous dis que c'est un travail de romains.
Arrivés au village de Befotaka où est né Martial. Explication de la fabrication des cases traditionnelles fabriquées en arbre du voyageur. Bien sur pas d'électricité ni d'eau courante, juste un point d'eau.
Le dispensaire du village. Une seule infirmière y travaille pour les petites pathologies.
La garage du village...pour les vélos.
La salle de cinéma. Une petite télé qui diffusera un DVD. Séance prévue tous les dimanches à 15h grâce au groupe électrogène.
L'église adventiste du 7ème jour.
La distillerie du village servant à faire de l'huile d'ylang-ylang.
Je tiens à rassurer, ce n'est pas moi qui l'ai fait pleurer.
Les salles de classe, franchement celles des enfant à Mayotte sont assez semblables.
Les enfants étaient fatigués, j'ai demandé à Martial de nous trouver un moyen de transport pour rentrer. Pas celui en dessous. |
Rien à voir avec les zébus de Mayotte. A Mada on s'en gave, bavettes, steaks, brochettes, émincés... à toutes les sauces même en bolognaise sur une pizza...miam miam.
On a donc choisit celui là.
Finn de journée, des images pleins la tête.
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